Fin mars, 350 visons ont été « libérés » des cages de la ferme à fourrure située à Montarlot-lès-Rioz (70). La plupart des « non-repris », peu aptes à se nourrir seuls ou à échapper aux pièges de la forêt, n’auront pas survécu longtemps. Leur sort tragique se double d’un drame écologique : s’ils survivent, les visons américains échappés de ces élevages portent une grave atteinte à la biodiversité, dont le vison d’Europe, plus faible, est la première victime ! Raison de plus pour interdire d’urgence ces élevages.
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Tous victimes de la chasse?
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Ensemble pour toutes les victimes de la chasse
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