Très chers soutiens de One Voice,
Je suis heureuse de vous présenter ce nouveau Noé, porteur de nombreux combats mais aussi de bonnes nouvelles, notamment un point sur la santé de Maya, éléphante martyre libérée du cirque, et une victoire dans notre combat contre les élevages de chiens destinés à l’expérimentation animale. Je vous laisse lire et vous en réjouir, car chaque succès, acquis grâce à vous, compte.
Mais je tenais aussi à partager une sorte de songe que j’ai personnellement vécu, en allant présenter le cas de Femke auprès de nos partenaires internationaux. Ce long voyage pour porter la cause de ce dauphin m’a conduite à San Juan, un archipel d’îlots au large de l’État de Washington, aux États-Unis. S’y tenait une conférence entre spécialistes des cétacés, à l’endroit où fut tourné Blackfish, film qui a marqué l’opinion sur la captivité des orques et dauphins, et un grand pas dans la libération de ces animaux du grand large voués à de mortelles baignoires de béton.
À San Juan, j’ai ressenti un parfum d’éden… Les animaux, qu’ils soient terrestres, marins ou oiseaux, vivent ici en bonne intelligence avec l’humain. Pourtant, et vous le lirez aussi, ce paradis est gravement affecté par les activités humaines, et la vie animale en pâtit, durement. J’y ai néanmoins ressenti une véritable harmonie entre des sociétés différentes, mais complémentaires. Les pygargues (l’aigle symbole du pays), les renards, les ratons-laveurs, les biches ou les canards vivent dans cet archipel sans peur des chasseurs, qui sont ici absents.
Quel bonheur de côtoyer des animaux qui n’ont pas la crainte de l’humain !
Voyez comme en France ces êtres de la nature nous fuient au premier regard, tant ils sont traqués par « les premiers écologistes de France », comme s’autoproclament les chasseurs. Il est temps de redonner à notre environnement le goût de la paix, d’une communauté où les échanges entre chacun riment avec sérénité et non anxiété.
Au-delà du bien-être de chaque animal martyrisé par la captivité, de chaque vie sauvage menacée, voilà un rêve au long cours que je tenais à partager avec vous, durablement. Merci d’y croire avec nous.
Amicalement,
Muriel Arnal
Présidente-fondatrice
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